jeudi 31 mars 2011

Parole forte:

‎"Un jour viendra,ou dans ce pays il y aura deux camps.D'un côté celui dont le territoire et la nation se confondent pour la défense de ce que nous sommes et de l'autre,celui pour lequel,ni la nation,ni le territoire,encore moins la République que nous tentons de bâtir n'a de sens,encore moins de valeur....." 
LAURENT GBAGBO 15 Novembre 2000 Fête de la paix

Côte d'Ivoire: une information sous influence

Selon le politologue français Michel Galy, les médias occidentaux n'ont pas pris la juste mesure de la crise ivoirienne.



Pour l'Elysée, le Quai d'Orsay et... la presse française,«Laurent Gbagbo doit partir» et «Alassane Ouattara est le président reconnu par la communauté internationale» (en particulier, ces «éléments de langage» officiels sont repris en boucle par RFI). Cette étonnante et suspecte unanimité fait problème et on en vient presque à regretter la presse de combat d'Abidjan, dans laquelle, au moins, le lecteur a le choix entre les polémiques des deux camps «bleus» et «verts»!

Le formatage des esprits

Dans la durée, cet alignement des médias sur les positions officielles a déjà été fortement critiqué, et toujours a posteriori... Ainsi, en 2004, Daniel Schneidermann, réalisant au jour le jour une insolente et indispensable critique des médias (au point qu'il a été licencié de l'émission de télévison Arrêt sur images) ironisait déjà, à propos des massacres de civils ivoiriens (à propos d’une presse française «embarquée», comme en Irak ou en Afghanistan) qu’il fallait trois semaines pour rétablir la vérité, connue sur place, y compris des occidentaux. Pour avoir vu à l’époque des confrères littéralement happés dans les hélicoptères de la force française Licorne vers Bouaké, «retour à 16 heures à l'Ivoire», on peut garantir qu'il ne s'agit pas que de métaphores...
Dans le temps... et l'espace. En ce moment la Libye, hier la Côte d’Ivoire, autrefois l'Irak. Dans l’urgence, les emballements de la presse se déclinent sur trois axes: unanimité politique, ethnocentrisme franco-français, alignement sur des positions militaristes. A vrai dire, ce dernier point résume souvent les précédents: c'est ce que Schneidermann nomme heureusement la«kakisation des esprits», en 2004 comme aujourd'hui!
Pour autant la presse, enfin toute la presse, n’est pas «aux ordres». Pas tous et tout le temps en tout cas. Comment s'explique alors cet alignement, si ce n'est par ces «présupposés» que Pierre Bourdieu opposait aux journalistes dans un débat célèbre et un livre stimulant (Sur la télévision)? Ici et maintenant la «fabrique de l’opinion» formate les esprits, sur la Côte d’Ivoire comme sur d'autres sujets, mais selon des topoï repérables et des processus souvent inconscients. Tout se passe comme si, à un moment donné, le courant dominant produisait un consensus idéologico-médiatique dont il est alors extrêmement difficile de sortir, quitte à ce qu'il vole en éclat quelques mois ou années plus tard, voire s’inverse!
Est-on si loin de 1984? Un social-démocrate devient «un dictateur»; un légaliste forcené se retrouverait pris à son atavisme pour redevenir un «guerrier bété»; ou un libéral du FMI un grand démocrate… Qu'il ait depuis 2002 (comme Foday Sankoh ou Charles Taylor en leur pays) mis la Côte d'Ivoire à feu et à sang par rebelles interposés ne compte pas, ne compte plus. Ces soldats perdus ne sont-ils pas des «rebelles qui sourient», et qu'importe si, dans ces guerres nomades, ce sont littéralement les mêmes qu’à Monrovia ou Freetown. De toute façon, si des exactions et même une violence continue comme «méthode de gouvernement» se produisent au Nord, les journalistes sont au Sud, et dénoncent vertueusement les contre-violences causées par le «coup d'Etat permanent» et la déstabilisation continue. Et alors? «La guerre c'est la paix», comme le savaient déjà les héros d'Orwell –et notre presse française, forcément libre et objective, est bien sûr composée de journalistes héros, intègres et clairvoyants!
Pour La Boétie déjà, l'énigme du pouvoir était non la sujétion au Prince, mais le plaisir, voire le désir des sujets à se soumettre…

Une presse africaniste en question

A l'occasion du printemps arabe, un certain nombre de désinformateurs ont été pris la main dans le sac; patrons d’hebdomadaires «africains», directeurs de «revues» panarabes ont dû reconnaître qu'ils étaient redevables au dictateur Moubarak, à M. Ben Ali –et pas que moralement! Les mêmes ou d’autres écrivent des dossiers systématiquement favorables à M. Ouattara, qui a toujours su traiter les journalistes et les directeurs d'organes de presse –et pas qu'en tenant table ouverte à Paris, Mougins ou Abidjan!
Dans ce contexte de corruption des esprits généralisée se posent des interrogations sur la «presse Rothschild» –pour inverser le stigmate que ses «experts» ont publiquement affiché sur la «presse Bolloré», jugée par eux non pas tant favorable à Laurent Gbagbo que trop tiède dans ses condamnations.
Depuis les années 90, le journaliste Stephen Smith, successivement responsable Afrique à Libération, puis au Monde, a mené une campagne acharnée contre Laurent Gbagbo et en faveur d'Alassane Ouattara. Dénoncé par les intellectuels africains pour ses écrits méprisants, il fut un temps soutenu par des politologues africanistes qui lui ouvrirent leurs colonnes.
Quand, dans un procédé digne d'époques que l'on croyait révolues (procédés typiques de la presse factieuse d’entre deux guerres), on amalgame hommes d'affaires et intellectuels, politiques et militants, pour les dénoncer coram populo, on doit s’attendre à rendre des comptes.
Sans être des admirateurs sans faille de Roland Dumas et de Jacques Vergès, l'un ancien ministre des Affaires étrangères et président du Conseil constitutionnel, l’autre brillant et inlassable avocat «de rupture» depuis la guerre d'Algérie, est-il inadmissible de traiter leur séjour à Abidjan comme «les deux grigous de Gbagbo»? On atteint là des sommets d'une certaine ignominie médiatique... Listes noires et insultes dépassent les bornes de la déontologie ordinaire des journalistes.
Le plus étonnant aujourd'hui: des trois grands quotidiens français, le Figaro est certainement le plus modéré dans son approche du conflit ivoirien.

La rhétorique de la désinformation

La désinformation n'est pas un discours intellectuellement construit: c'est une série de pratiques plus ou moins visibles (plus ou moins conscientes d'ailleurs dans leurs effets de falsification, répétition et mimesis), articulée dans une rhétorique d’inversion ou de déplacement.
On a fait allusion à une «politique de l'information» qui va de la ligne plus ou moins explicite d'un organe de presse, s’inscrivant dans un champ médiatique, dominé à un moment donné par une idéologie consensuelle. Cette politique se décline dans le nombre des articles et leur place, envoi (ou non) d'envoyés spéciaux (et leurs pratiques de terrain), l'acceptation ou le refus de tribunes ou d'entretiens extérieurs, les analyses «maison» des événements culminant dans des éditoriaux parfois signés, souvent courageusement anonymes...
Le recyclage des acteurs, intellectuels ou journalistes étrangers constitue une tactique de choix dans la propagande de masse, à laquelle la blogosphère n'échappe pas; suffit-il, comme Venance Konan par exemple, d'être une «bonne plume» ivoirienne pour pouvoir écrire n'importe quoi (et faire oublier son passé de chantre de l'ivoirité et son militantisme actuel pro-Ouattara)? Loin de tout devoir de réserve (les amis du Prince, réfugiés ou étrangers, n'y sont bien sûr pas tenus!), on peut se permettre ainsi d'user des procédés les plus classiques de l’extrémisme: tribune ignoble sur le physique ou la vie privée du «dictateur» dénoncé; lettre collective dans Le Monde un jour, personnelle dans Libération le lendemain —toujours dans des termes où l’insulte ne cède qu’à l’outrance.
Le sommet a sans doute été atteint en reprochant à Laurent Gbagbo la responsabilité de la guerre urbaine d'Abidjan: tous les observateurs savent que le «commando invisible» d'Abobo vient de la rébellion et de la mouvance Ouattara. Ou encore d'indexer les morts civils de 2000 qui affrontèrent les militaires soutenant le putschiste R. Gueï, se faisant massacrer pour un régime civil et le respect des élections. Ici, l'ironie n'est plus de mise: attribuer les victimes du général Gueï à Laurent Gbagbo est ignoble et digne des procédés de Goebbels: «plus c'est gros, plus ça passe»! Tout comme un quarteron de chercheurs sous influence, ayant en commun de ne pas avoir connu la Côte d'Ivoire depuis dix ans, recyclent l'ivoirité ou attribuent ce faux concept, «l'ethnocratie», à celui qui a un électorat multiethnique! La responsabilité dans ces cas est partagée entre les auteurs et ceux qui laissent passer ces textes: à supposer que la presse se relise, dans quelques années, le rôle des rédactions n'en sortira pas grandi.
Les procédés de désinformation sont légion, et l’ignorance du terrain ne saurait les résumer. Certains sont conscients et servent de marqueur, de repérage dans le champ médiatique: ainsi entendre un «expert» journaliste évoquer sciemment 2004 en déplorant les 10 morts et les 30 blessés de l'armée française à Bouaké sans citer les 60 morts et plus de 1.000 blessés ivoiriens semble significatif. Plus récemment, dans les pseudo débats télévisés (on pense par exemple à un débat de «spécialistes» à 100% ouattaristes: si la conversation manquait de diversité, le forum en ligne était plutôt animé, ayant sans mal remarqué le procédé…), le fait de citer le Conseil constitutionnel ivoirien constitué de pro-Gbagbo (sans d'ailleurs faire référence à l'identique situation française) sans mettre en regard la composition de la CEI à plus des deux tiers pro-Ouattara parait un marqueur évident de partis pris tout à fait voulus.
Les procédés d’inversion, plus scandaleux, ne manquent pas: on se souvient de Jacques Chirac —lui qui a 2004 sur la conscience— traitant Laurent Gbagbo de...  «fasciste»! On a pu récemment entendre des journalistes prendre les commandos d'Abobo pour le «soulèvement du peuple» ou la «désertion de l'armée ivoirienne».
La diabolisation de l’adversaire se fait par calomnies successives, procédant de l’inversion systématique, ou du déplacement victimaire: tactique langagière courante chez les promoteurs de génocide, si l’on en croit les analyses de Jacques Semelin.
Tout ne ressort pas cependant d'une diabolique volonté de désinformation, de la corruption des esprits ou d'une obéissance à des rédactions inféodées: même si cela existe et si l'Afrique, depuis longtemps, a servi de miroir déformant à nos turpitudes. Notons au passage ce que l’on pourrait nommer le «rendement décroissant de l’information», qu’il faudrait approfondir: de la télévision, à la radio et à la presse écrite occidentale, la désinformation régresse, ou se fait moins flagrante; d'autres ont pu travailler bien mieux sur les procédés de «construction» audiovisuelle, qui concernent aussi les réseaux sociaux ou les blogs (comme la fiction, bien écrite et entièrement inventée, du décès de Ouattara au Val-de-Grâce).
Beaucoup vient, au-delà de l’ethos (qui n’est pas qu'une absence d’éthique ou de déontologie!), d'un certain habitus journalistique: pour en avoir partagé quelques épisodes au plus fort des événements de décembre et janvier, on peut assurer de l'intérêt d'une recherche anthropologique sur le journalisme occidental à Abidjan...
Ni presse locale, ni profondeur historique, ni éclairage socioanthropologique: faute de mise en perspective, les journalistes occidentaux interagissent sur le terrain, vivant dans un monde d’autoréférencement. Leur dépendance des «fixeurs» autoproclamés n’en est que plus flagrante, et parfois pitoyable; demi-journalistes, demi-informateurs fonctionnant eux aussi en réseaux (d’ailleurs très majoritairement pro-Ouattara), ces derniers fonctionnent eux aussi en réseaux et jouent un rôle aussi important dans la désinformation que dans l’information.
Il est vrai que le milieu politique ivoirien est préstructuré, dans une inégalité flagrante devant les attentes, collaboration ou refus avec la presse occidentale; globalement tenus pour des ennemis virtuels par le camp Gbagbo —avares de contacts et de données—, les journalistes  venus d’Europe sont accueillis à bras ouverts… et désinformés à proportion par le camp Ouattara… depuis 2002! Ce sont d’ailleurs les supplétifs, on veut bien croire involontaires, de la rébellion: quant au mythe du «smiling rebel» de 2002, lui correspond celui du «commandant du Vent», chef du commando invisible de 2011; et qu’importe si ce sont les mêmes guerriers nomades ayant mis à feu et à sang Liberia, Sierra Leone et Nord de la Côte d’Ivoire, qui s’apprêtent à des massacres de masse à Abidjan et dans le Sud: ce n’est que trop tard que les mêmes s’apercevront que le sourire n’était qu’un rictus complaisant et que le vent d’Abobo ne charriait que l’odeur des cadavres. Aucun mea culpa à attendre de ce que Sartre nommait les «belles âmes», ces idiots utiles de la sanglante Histoire à venir. «On ne savait pas…» diront-ils, comme toujours. Pour autant, à écrire une prose éphémère, faut-il encore qu’elle soit irresponsable?



L'AUTEUR
Michel Galy

mercredi 30 mars 2011

Révélation sur la crise ivoirienne par le Pasteur Koné Mamadou Malachie

Vendredi, 18 Février 2011 17:16 


Pour votre rappel, j’avais prophétisé un certain nombre de choses concernant la
fin de la crise en Cote d’ivoire.

J’avais parlé de 7 étapes précises dont 2 sont en voie de finition.

J’avais dit depuis 2005 à Bassam et réitéré en 2009 à la radio 

Fraternité Divo

Etape 1

Le temps viendrait où nous trouverons de par nos même, nos propres voies de
sortie de crise après plusieurs compromis.

Et cela s’est parfaitement réalisé avec < les accords de Ouagadougou 

Etape 2

a) Je l’avais intitulée la parfaite réalisation de ce complot international cotre notre pays.

b) J’avais dit qu’il y’aurait une très grande insécurité qui se signalerait par diverses sortes d’attaques.
Et vous pouvez remarquer, que depuis le 2eme tour des élections, c’est bien à cela que l’on assiste jusqu’aujourd’hui.

c) J’avais aussi dit que la France appellerait tous ses ressortissants à quitter le pays et que cela causerait une énorme psychose (sentiment d’insécurité) dans le cœur des ivoiriens.
 Et cela s’est aussi réalisé.

d) J’avais dit que plusieurs autres pays de l’Union Européenne emboiteraient le pas à la France pour demander à leurs ressortissants de rentrer chez eux ou de rester vigilants. C’est ce qui s’est vraiment passé avec le Portugal,L’Allemagne, la Suisse, La Belgique et tant d’autres pays, qui ont officiellement demandé à leurs ressortissants de quitter notre pays.

e) J’avais prophétisé que plusieurs français ne voudront pas sortir du pays pour une raison ou pour une autre, et c’est aussi ce qui se fit. On nous dit que sur 20.000 français résidents en Cote d’ivoire, seulement 1.500 sont retournés en France.

f)La dernière phase de l’étape 2, qui reste à s’accomplir et dont j’avais aussi mentionnée dans mes révélations, c’est une résolution que la France demanderait a l’ONU de lui accorder et qui devra être susceptible de donner droit aux soldats français, de protéger tous leurs ressortissants sur l’ensemble du pays.
J’avais aussi dit que ce prétexte servirait plutôt à armer toute la rébellion entière en vue d’une frappe militaire très stratégique. Voici donc, les deux premières étapes, qui sont en phase exécutoires dans cette crise qui n’a que trop durée. Les autres étapes qui s’avèrent encore plus difficiles pour notre pays et dont j’avais aussi parlées dans mes révélations sont les suivantes.

Etape 3

a) J’avais dit que lorsque la France se rendrait compte qu’elle aurait mit tous ses ressortissants hors d’état d’être nuis, alors, ayant armé la rébellion, sous le fallacieux prétexte de protéger ses ressortissants, elle donnerait maintenant le feu vert a notre rébellion armée et a tous les autres ennemis de la Cote d’ivoire, de frapper très fort et tous les fronts du pays a la fois et que cela envahirait inévitablement notre jeune armée, qui ne saurait que faire

b) J’ai aussi dit, que pour secourir l’armée et pour protéger leurs localités respectives, plusieurs jeunes gens à l’esprit patriotique voudront former des boucliers humains et que ce serait alors, la guerre civile.

Etape 4

a) J’avais révélé dans cette étape 4, qu’il aurait un semblant de victoire de nos ennemis sur toutes nos forces de résistance réunies.

b) J’avais dit, que les rebelles, aidés par notre puissance coloniale et par plusieurs autres ennemis de la Cote d’ivoire, prendraient beaucoup de villes et réussiraient à descendre sur Abidjan, en occupant plusieurs postes stratégiques de la capitale.

c) Jai même dit que nous perdrons tout espoir en un avenir meilleur et que les chaines radiodiffusées et les journaux télévisés des pays voisins,montreront le chaos de la cote d’ivoire.

d) J’ai aussi dit qu’en ce moment précis, les rebelles feront beaucoup de déclarations sur les chaines étrangères pour dire à la communauté internationale, que dans peu de temps, ce serait fini du gouvernement Gbagbo.

e) Frère, J’ai vraiment mal, de vous confirmer que toutes ces choses s’accompliront inévitablement sur notre pays, sans rien négliger et
que personne n’y pourra rien ; pas même le plus grand rabbin de tout Israël. 
J’ai vraiment très mal…


Etape 5

a) Dans cette étape, j’ai aussi prophétisé la délivrance de la Cote d’ivoire, de par la main de Dieu, et d’une façon tellement spectaculaire, qu’aucun mortel ne pourrait l’imaginer.

b) J’avais aussi prophétisé que la France perdrait la cote d’ivoire et que petit à petit, elle perdrait aussi plusieurs autres pays africains, y compris sa très grande influence a l’échelle mondiale.

Etape 6

Intitulée, < Le choix du président Laurent Gbagbo cette étape sera l’une des plus merveilleuses histoires de tous les temps. J’avais dit, je le répète, je persiste et je signe, que le président Lauren Gbagbo est l’objet du choix de Dieu pour une cote d’ivoire nouvelle. Je ne ferrai pas assez de commentaire là dessus, car tout œil le verra et toute langue confessera, que Laurent Gbagbo est bel et bien, le Président de la Cote d’ivoire toute entière, pour le bonheur des ivoiriens et pour la gloire de Jésus-Christ le Seigneur.

Frère, je crois qu’il doit bien exister une raison divine, pour laquelle,l’Eternel Dieu, celui que nous prions sans relâche et depuis toujours, permet toutes ces choses dans notre pays. Attendons de voir.

Etape 7

Je l’avais intitulée < attaque de deux autres pays africains et je ne voudrais vraiment pas que vous soyez dans l’ignorance, au sujet de ces deux pays-la, et aussi au sujet des décrets divins, concernant la manière dont Dieu traitera tous les autres ennemis de la Cote d’ivoire, pendant et après cette sale guerre.



Voici les décrets, tels que signés et arrêtés depuis le ciel:

DECRET 1 Jugement des rebelles et des autres forces ennemis a la Cote d’ivoire


a) La mort imminente et immédiate de tous les soldats de la rébellion sans aucune exception.

Dieu ordonnera la mort immédiate et sans aucune exception, de tous les éléments de la rébellion armée ou désarmée, des plus petits aux plus grands et des plus grands aux plus influents. Nul d’entre eux n’échappera, pas même un seul. Ils seront tous tués, puis ensuite jugés et condamnés par le tribunal de Dieu, pour avoir porté atteinte et de façon impitoyable, à la sérénité d’un peuple élu de
Dieu. Ils payeront un très lourd tribut, pour chaque main coupée aa une victime et pour chaque atrocité causée à un innocent. Ils regretteront pour toujours et à jamais, le jour qui les a vus naitre et la pensée qui les a induits en erreur. Car ils seront complètement oubliés des cœurs, comme des vases brisés et tous leurs descendants, ainsi que la totalité de leurs biens mal acquis, resteront pour tous les humains, comme un objet d’horreur.

b) La mort immédiate des 2/3 de soldats français présents sur le sol ivoirien lors de la guerre.

c) La mort immédiate de 1/3 des soldats de l’ONUCI présents en cote d’ivoire.

d) Destruction immédiate de tous les armements de guerre utilisés contre la Cote d’ivoire, par les 3 forces militaires confondues. ONUCI, LICORNE, REBELLION.

 DECRET 2 Jugement des partis politiques alliés

Dieu prononcera au cours de cette guerre, un Jugement très radical et très sévère, contre tous les premiers responsables de partis politiques, ayant soutenu la France aux cotés de la rébellion, pour faire souffrir inutilement les ivoiriens.

NOTEZ BIEN 
Ce jugement divin, ira de la dépression mentale pour les uns, a une mort très cauchemardesque pour d’autres, passant par la paralysie à
vie, jusqu’à’ à une extrême pauvreté pour certains autres.

DECRET 3 Jugement divin, contre deux principaux chefs d’Etat africains

Dieu prononcera un grand Jugement contre tous les présidents de républiques voisines, ayant contribué à installer la chienlit en Cote d’ivoire et accepté d’avoir concouru à perdurer les souffrances des ivoiriens.

NOTEZ BIEN 
Ce jugement divin contre ces présidents de républiques voisines, se signalera par la formation de plusieurs groupes de rebellions armées
contre tous ces chefs d’Etat, dans leur propre pays et a l’extérieur. De sorte qu’ils seront contrains a un exile forcé ou a une mort certaine, brutale et très affreuse.

Dieu, le juste Juge, leur ferra connaitre le poids de la douleur que peut ressentir un président en exercice, confronté a des rebelles armés, sans cause et sans raison valable et aidés a la tâche, par la même communauté dite international.

Dieu ferra que ces présidents-là, ne reparaissent plus jamais sur la scène politique de leur pays, jusqu’à la fin des temps. Ils seront tentés même de faire appel a la Cote d’ivoire pour leur porter secours et assistance, mais Dieu lui-même, ferra que leur appel au secours ne porte aucun échos favorable dans le cœur des ivoiriens, jusqu’à ce qu’ils aient d’abord, suffisamment sucé tout le venin de la colère du Seigneur, contre tous leurs agissements mesquins, dans les affaires de souveraineté personnelle d’un Etat proche et historiquement ami à eux.

Ces deux pays-là, frère, sont le Burkina en premier et le Sénégal ensuite.

DECRET 4 Jugement de trois leaders de presse ivoiriens.

Dieu ordonnera la mort par un suicide volontaire, de trois leaders de presse en Cote d’ivoire, pour avoir négativement participé de façon médiatique, a déstabiliser le pouvoir en place et méprisé ainsi les institutions de notre pays.

NOTEZ BIEN
L’un de ces trois leaders de presse mentionnés, se suicidera par pendaison, le 2eme leader par noyade et le troisième, par une forme
très bizarre de suicide volontaire. L’une de ces trois personnes, manifestera pourtant la volonté de demander sincèrement pardon aux ivoiriens, mais entre le doute et l’action, il devra choisir, car sa survie en dépendra.

DECRET 5 Sanction céleste contre le président français

a) Dieu provoquera la colère de la population française contre lui et incitera les collectivités sociales et syndicales à réclamer sa démission immédiate et sans délais.

b) il passerea 7 jours dans un coma profond et je ne suis malheureusement pas, autorisé à vous relater la suite de sa vie, du retour des 7 jours de ce coma  profond.

c) Dieu ferra échapper au contrôle de la France , plusieurs pays africains et proclamera officiellement < le temps de l’Afrique et la fin de < la Françe-afrique c’est à dire, la fin de l’esclavagisme colonial. Car chaque chose a une fin.

NOTEZ BIEN 
La France perdra son contrôle sur plusieurs pays africains et elle perdra aussi, son monopole de 3eme puissance mondiale. Elle ne sera plus jamais rien.

DECRET 6 Rapatriement du restant des soldats ennemis

Dieu ordonnera le rapatriement immédiat, obligatoire et brutal, de tous les soldats de l’ONUCI et de tous les militaires de la LICORNE
, ayant échappés à la guerre, grâce a une faveur a eux, faite par le ciel. Tous ces soldats et tous les autres membres de leur famille, quitteront pour toujours la Cote d’ivoire, avec pour seul souvenir, que vraiment, 

< RIEN NE PEUT, CONTRE LA VOLONTE DE DIEU.

DECRET 7 Reconstruction entière de la Cote d’ivoire

L’Eternel Dieu ordonnera a plusieurs bayeurs de fonds et a bons nombres de personnalités financières, de rebâtir entièrement la Cote d’ivoire, dans un très bref délai. La Cote d’ivoire sera alors, un peuple de gloire et un pays de lumière, pour toujours et à jamais. En ce moment-là, un Français qui entrera en Cote d’ivoire, n’y viendra plus dans la pensée d’aider les ivoiriens a sortir d’une certaine misère, mais il y viendra plutôt, pour qu’un jeune ivoirien, puisse l’aider financièrement a s’en sortir.

ET ce sera ainsi, pour toujours et a jamais.

Ainsi, frère, voici comment s’achèvera la triste histoire d’une sale guerre, livrée à la cote d’ivoire qui désire pourtant Mr Laurent Gbagbo, comme son président.

QUE DIEU BENISSE LA COTE D IVOIRE

Pasteur Koné Mamadou Malachie esclave de Jésus et défenseur droits divins.


Que Dieu bénisse la Cote d’ivoire

Reprise généralisée des hostilités : La preuve que l’Onuci attaque les Fds

In Le Nouveau Courrier N°239 du 30 Mars 2011 par Frank Toti

Depuis dimanche dernier, une recrudescence des combats est enrégistrée le long de la ligne de front, de l’ouest à l’est du pays. Et dans lesquels les soldats de l’Onuci ont désormais passé le cap de la simple assistance aux rebelles.


Les rebelles d’Alassane Ouattara qui ont violé le cessez-le-feu sur la ligne de front il y a quelques semaines viennent d’accentuer leurs offensives sur plusieurs villes en zone gouvernemental. Cette fois ci, ils n’ont pas seulement bénéficié du soutien logistique des forces impartiales, notamment les forces onusiennes. Ils ont eu également un appui tactique au sol, selon des sources militaires, lors des combats pour le contrôle de Duekoué et Daloa hier. Les soldats de l’Onuci, plutôt les mercenaires libériens, nigérians, burkinabé de Choi déguisés en soldats onusiens selon plusieurs témoignages, ont pris part au combat aux côtés des rebelles. A Duekoué, après le convoyage par hélicoptères de rebelles dans les villages environnants de la ville, l’Onuci a joué sa partition sur le terrain. Le lundi dernier très tôt dans la matinée, les rebelles lancent une offensive sur Duekoué. Après plusieurs heures de combat, ils sont repoussés par l’armée régulière à la tombée de la nuit. C’est alors que les soldats de l’Onuci trouvent le moyen d’initier des patrouilles dans la ville, avec pour objectif de s’assurer que les populations n’ont pas été touchées dans les combats. Fausse couverture des hommes de Choi. Puisque, seulement une dizaine de minutes après la fin des mystérieuses patrouilles onusiennes, les rebelles, en grand nombre et avec une puissance de feu renforcée, reviennent à la charge. C’est un «déluge» de feu sur les positions des Fds, avant qu’on apprenne hier que la ville de Duekoué est désormais sous contrôle des rebelles de Ouattara.

Dans la «conquête» de la très stratégique ville de Daloa, où sont concentrées plusieurs forces militaires de l’armée régulière, les rebelles et mercenaires de Ouattara ont également bénéficié du soutien au sol des soldats de l’Onuci et de la Licorne. Selon les affirmations de plusieurs habitants de la ville, des combattants de race blanche ont été aperçus aux côtés des rebelles quand ils paradaient à travers la ville de Daloa, pour saluer «leur victoire sur les Fds». «Les rebelles ont été transportés par hélico de l’Onuci et déposé dans la forêt de Tec à l’entrée de la ville. C’est de là qu’un groupe a lancé les attaques. Les autres groupes étaient un peu partout dans la ville et attendaient surement ce dernier groupe», expliquait un habitant joint par téléphone. Selon un gendarme des Fds ayant participé aux combats à Daloa, les rebelles ont aussi bénéficié de l’appui aérien de l’Onuci. «Pendant les combats, il y avait un hélico Mi-24 de l’Onuci au dessus de nos têtes», témoigne-t-il. Ce que confirment plusieurs habitants de la ville qui ont aperçu dans les airs des hélicoptères de l’Onuci dont un Mi-24 au moment des combats entre Fds et rebelles. Visiblement, l’Onuci et la Licorne ont décidé de ne plus se contenter de fournir des armes, transporter et renseigner les rebelles. Elles prennent désormais part au combat aux côtés des rebelles contre les Fds sur les différents fronts qu’elles ont activement participé à remettre en ébullition.

General resumption of hostilities: The proof that the attack UNOCI Fds

In The New Courier N ° 239 of March 30, 2011 by Frank Toti
Since last Sunday, an upsurge in fighting is recorded along the front line, west to east.And in which soldiers have now ONUCI passed the mere assistance to rebels.

Alassane Ouattara, the rebels who had violated the cease-fire on the front line just a few weeks ago to intensify their attacks on several towns in the area of ​​government.This time, they have not only benefited from the logistical support of the impartial forces, including UN forces. They also had a tactical ground support, according to military sources, during the fighting for control of Duekoue and Daloa yesterday. The troops of UNOCI, rather Liberian mercenaries, Nigeria, Burkina Faso Choi disguised as UN soldiers according to several witnesses, took part in fighting alongside the rebels. A Duekoué after ferrying helicopters by rebels in the villages surrounding the city, UNOCI has played his score on the ground. On Monday early in the morning, the rebels launched an offensive on Duekoue. After several hours of fighting, they are repulsed by the regular army in the dark. Then the troops of UNOCI find a way to introduce patrols in the city, with the aim of ensuring that people have not been affected in the fighting. False coverage of the men of Choi. Since only about ten minutes after the mysterious UN patrols, the rebels in great numbers and with enhanced firepower, returned to the charge. It is a deluge of fire on the positions of Fds, before we learn yesterday that the city of Duekoue is now under rebel control of Ouattara.
In the "conquest" of the very strategic town of Daloa, where military forces are more concentrated in the regular army, rebels and mercenaries Ouattara also supported the ground troops of UNOCI and Licorne. According to statements by several residents of the city, fighters were spotted white with the rebels when they paraded through the town of Daloa, to salute "their victory over the Fds. "The rebels were transported by helicopter from UNOCI and deposited in the forest of Tec at the entrance to the city. That's where a group has launched attacks. The other groups were around the city and waited probably the latter group, "explained a resident reached by telephone. According to a policeman who fought Fds Daloa, the rebels have also received air support of UNOCI. "During the fighting, there was a helicopter Mi-24 UNOCI's above our heads," says he. This is confirmed by several townspeople who saw through the air helicopter UNOCI including a Mi-24 during the fighting between rebels and Fds. Obviously, UNOCI and Licorne have decided not only provide weapons, transport and educate the rebels. They are now taking part in the fighting alongside the rebels against the FDS on the various fronts that they have actively participated in re-boil.

Règlement de la crise post-électorale - Comment l’UA soutient l’option militaire

de Autre média  |  mercredi 30 mars 2011

L’Union Africaine a officiellement rejeté l’option militaire. Et prône une résolution pacifique de la crise. Mais en réalité, elle a adopté une ligne qui ne se démarque pas ouvertement des opérations militaires du camp Ouattara, qui viole le cessez-le feu. L’Union Africaine joue à un jeu trouble en Côte d’Ivoire. En voulant une chose et son contraire. Pendant qu’elle affirme préconiser une résolution pacifique de la crise, en même temps, et c’est toute l’ambigüité de cette politique incompréhensible de l’autruche, elle soutient et de manière tacite, l’option militaire en Côte d’Ivoire qui avait été écarté. En effet, dans le cadre de la résolution par la voie du dialogue du conflit post-électoral, l’Union Africaine a décidé de nommer un «Haut représentant» en Côte d’Ivoire, deux semaines après les conclusions du panel le 10 mars 2011. Une nomination intervenue samedi 26 mars dernier. Mais, face à une crise qui perdure et qui a des répercussions énormes (massacres des populations innocentes, exode massif des populations, désorganisation de l’économie du pays, etc.), la diligence et la réaction de l’Ua devaient être systématiques. Attendre au-delà des deux semaines pour nommer un «Haut représentant» est suspect. L’Ua cherche également a gagné du temps en laissant tranquillement les rebelles poursuivre leur offensive. D’autant plus que le Cap-Vert n’a jamais caché ses réserves dans la gestion du dossier ivoirien par la «communauté internationale», en refusant de cautionner la forfaiture. Une caution tacite Donc en nommant le diplomate Cap-Verdien pour superviser une solution négocié à la crise, l’Ua savait pertinemment que José Brito allait être récusé par le camp Ouattara. Puisque celui-ci a toujours soupçonné le président Pedro Pires et son pays de soutenir le président Gbagbo. Mais en réalité, le problème est ailleurs. En créant ce vrai-faux blocage monté de toutes pièces, les partisans de l’option militaire (Wade, Goodluck, Compaoré…) jouent leur partition - en actionnant l’option militaire qu’ils avaient déjà préconisée. Cette récusation de José Brito par Ouattara est donc un acte calculé et prémédité de l’aile dure du l’Ua (qui fournit appuis logistiques, militaires et humains à la rébellion, aidé de l’Onuci et Licorne) qui soutient l’usage de la force à visage masqué, en faisant semblant de rechercher une solution pacifique par la nomination d’un médiateur. Sinon, comment comprendre que, pendant que le camp présidentiel appel à un cessez-le-feu immédiat et au dialogue pour trouver une issue à cette impasse politique, le président du Rdr et ses rebelles s’engagent dans une vaste attaque généralisée à travers tout le pays. Et que dans le même temps, l’Union Africaine observe la loi de l’omerta, un silence total sur les exactions et attaques des rebelles par la violation du cessez-le-feu. Idem pour la Cedeao, l’Ue, l’Onu, etc. C’est motus et bouche cousue. Au poulain de la communauté internationale, Alassane Ouattara, il s’est définitivement décidé : plus de négociations. La guerre ou la guerre. La nomination d’un autre médiateur ne saurait rien changer dans sa logique aveugle de prendre le pouvoir